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octobre 09, 2019 3 lire la lecture 4 Commentaires

Le cododo est-il une pratique universelle ?

Si le co-sleeping est encore pratiqué dans de nombreuses sociétés. En Occident, les choses ont changé : au début du XXe siècle, on est passé d’un modèle où tout le monde dormait dans la même pièce (parce qu’il n’y avait pas d’espace et pour avoir chaud), à un nouveau modèle culturel, où les parents dorment dans leur chambre et les enfants dans la leur. Cependant, le cododo connaît depuis une vingtaine d'années un retour en force, porté par une approche plus "naturelle" des premiers contacts avec le bébé.

Un contact rapproché avec le bébé, c'est indispensable

L’envie de pratiquer le co-sleeping pour la maman dépend beaucoup du vécu de la grossesse et de l’accouchement. Si, enceinte, on a craint pour la vie de son enfant, si l'accouchement a été difficile, s’il est prématuré, s’il a dû être hospitalisé ou si la maman se sent "dépossédée" de son bébé : le co-sleeping semble être un moyen de réparer ce manque.

Ce besoin de contact avec son bébé peut s'exprimer aussi bien-entendu chez papa! Ainsi maman et papa peuvent passer par du peau-à-peau durant la journée, papa peut le bercer, maman lui chanter des berceuses ou le prendre avec eux pendant les siestes. 

Le cododo peut-il être dangereux pour le bébé ?

Le principal danger indiqué par les détracteurs du cododo est l’étouffement de l’enfant par l’un des conjoints lorsqu’il est en phase de sommeil profond (notamment s’il prend des somnifères). Le bébé risquerait aussi d’être étouffé sous un oreiller ou la couette. Il y a également un risque de chute du lit des parents, si le bébé est au bord du lit. Cependant, ces risques sont souvent surestimés : aucune étude n'a pu les prouver réellement. En revanche, la prise d'alcool ou de somnifères faisant baisser la vigilance des parents est elle, répertoriée comme un facteur de risque d'accident.

Dans tous les cas, si on choisit de pratiquer le co-dodo, on doit respecter ces règles de sécurité  : 

  • ne pas placer le bébé au bord du lit
  • ne pas dormir avec un oreiller ou une couette, qui pourrait recouvrir le bébé
  • l'installer toujours sur le dos, dans une turbulette ou gigoteuse
  • dès que le bébé est capable de se retourner et de se déplacer, le placer dans son lit “co-sleeper”, le long du lit parental 

Les lits "side-bed", une bonne solution intermédiaire

VRAI. Ces berceaux "co-sleepers" qui se fixent au rebord du lit parental sont une bonne alternative au véritable co-sleeping. Ils permettent à l’enfant de dormir dans son propre espace, tout en étant près de ses parents. Les avantages sans les inconvénients !

Le co-sleeping favorise l'allaitement

Avoir son bébé à portée de main évite à la mère de se lever pour nourrir ou rassurer son enfant, et permet de suivre son rythme, sans allumer la lumière ou déplacer le bébé. La mère et l'enfant se rendormiront ainsi plus facilement. Cette proximité est également augmentée quand l’enfant dort dans un berceau "co-sleeper", ou dans un berceau collé au lit de ses parents.

Le cododo a-t-il une incidence sur le sommeil du bébé ?

L'enfant a besoin de se sentir entouré par ses parents pour se sentir en sécurité, mais il n’a pas forcément besoin d’être collé à eux. De plus, le cododo peut perturber le sommeil de la maman si elle est en alerte, perturbée par les bruits du bébé.  Avec le couchage sur le dos, règle de sécurité numéro  1, la situation la plus sécuritaire pour l’enfant les 5-6 premiers mois est qu’il dorme dans la chambre de ses parents, dans son propre lit. S’il est "sécure", si pendant la journée il a son comptant de présence maternelle, de câlins, il sera parfaitement bien dans son petit lit. Il ne se sentira ni abandonné, ni malheureux. Les parents ont parfois tendance à projeter sur leur bébé leur propre incapacité à se séparer de lui la nuit…

Arrêter le cododo, c'est facile ?

Plus l’enfant grandit et plus le départ du lit des parents peut se révéler difficile. Quatre, cinq, six mois semble être la bonne moyenne pour fixer l’indispensable séparation qui permettra au bébé de devenir autonome. Pour faciliter cette transition, il est important d’instaurer des petits rituels de séparations sécurisants au moment du coucher. Les bébés adorent la routine alors à vous d'en instaurer une nouvelle! 

Source : Parents.fr


4 Réponses

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septembre 28, 2020

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septembre 28, 2020

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septembre 19, 2020

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